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Col de l'Iseran (2770m)
2 ascensions
Versant Sud
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Lanslebourg (1390m) |
Col de l'Iseran (2770m) |
32,5 km |
1380m |
4,2 % |
Versant Nord
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Viclaire (900m) |
Col de l'Iseran (2770m) |
38 km |
1870m |
4,9 % |
Départ (versant sud): Lanslebourg (1390m). |
Parcours: |
Les premiers kilomètres
mènent à Lanslevillard, pied du petit col de la Madeleine.
Ensuite, la route est longue jusque Bonneval-sur-Arc, avec alternance
de longues lignes droites, petites côtes et légères descentes.
A partir de Bonneval, le profil change radicalement. Dans un
virage à gauche, la pente devient terrible (10%) et la distance jusqu'à
l'épingle suivante est interminable. Après une deuxième épingle,
la pente s'adoucit, pour reprendre de plus belle peu après. Là encore,
les pourcentages atteignent les 10%. Un passage dans un tunnel puis sur
un pont annonce la dernière partie de la montée: une longue route
en corniche à 9-10%, un virage à gauche, et les dernières centaines
de mètres avant l'arrivée. Une ascension terrible.
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Premiers lacets après Val d'Isère.
Départ (versant nord): Viclaire (900m). |
Parcours: |
En venant de Bourg-Saint-Maurice, la route ne commence vraiment à monter qu'à partir du lieu-dit
Viclaire. On peut donc s'échauffer sur cette première partie, et ne chronométrer que lorsque
les choses sérieuses commencent.
Dans l'ensemble, la montée n'est jamais très forte, mais la longueur de ce col en fait
en parcours usant. On commence par une quinzaine de kilomètres entre 5% et 7%, sur une belle
route assez fréquentée. La route longe la vallée, sans grande originalité, à l'exception
de deux paires de virages en épignles. On atteint le lac du Chevril (barrage de Tignes),
où on laisse filer vers la droite la route de Tignes.
Pendant une dizaine de kilomètres,
la route ne monte presque plus. Il faut cependant rester attentif car de nombreux tunnels
(parfois mal éclairés) jalonnent le parcours jusque Val d'Isère. On traverse le village sans
grande diffculté, en remontant l'Isère dont les sources ne sont pas loin. Enfin, dans une
large épingle, on coupe la rivière sur le Pont Saint-Charles.
La dernière partie est beaucoup plus amusante, à la fois plus pentues et plus fantasque.
Les virages se succèdent et les vues sur la vallée en contrebas ou les montagnes environnantes
sont saisissantes. On aperçoit souvent les portions de routes à venir. Dans on virage à droite,
on découvre le col au loin, mais on n'est pas encore arrivé. La route devient moins sinueuse,
avant d'atteindre une dernière série d'épingles courtes qui mènent au sommet.
Une ascension terrible de ce côté également.
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Autres photos...
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