Col de la Furka (2431m)

Dans la région des cols du Nufenen et du Saint-Gotthard, le col de la Furka bénéficie d'un superbe paysage, tout comme ses voisins. C'est un des plus hauts cols de Suisse, et son versant Ouest longe le célèbre glacier du Rhône. Un bel objectif est la boucle Nufenen-Gotthard-Furka qui fait environ 100km.
L'ascension commence tout de suite par les pentes les plus difficiles, avec plusieur virages en épingle. La route est large et en parfait état. Au fil de la montée, on aperçcoit tantôt Realp et le trajet déjà parcouru, tnatôt la longue vallée qui s'étend jusqu'au col. On passe devant une ou deux maisons visibles depuis le départ, avant d'entammer la deuxième partie beaucoup plus rectiligne, mais moins pentue. La route traverse Tiefenbach, longe des torrents et offre une magnifique vue. Deux virages annoncent la fin de la montée, et le col après un faux plat de quelques centaines de mètres.
Un bel objectif est la boucle Nufenen-Gotthard-Furka qui fait environ 100km.

La route commence gentiment (5-6)% dans la forêt, avec déjà des beaux virages, et l'auberge "Rhone Quelle" qui rappelle qu'on aborde les pentes qui mènent au célèbre glacier du Rhône, source du grand fleuve alpin. Après une très courte portion de descente et un vieux petit tunnel en pavés, on attaque un morceau de quelques centaines de mètres assez pentus et très rectiligne d'où on aperçoit les lacets du Col du Grimsel. On est bien assommé tant le spectacle est grandiose. Après quelques épingles, on atteint Gletsch dans un replat, avant de croiser une première fois la route de l'ancienne ligne ferroviaire de la Furka. La route est bien large et le revêtement est parfait.
On laisse partir à gauche la route du Col du Grimsel que l'on aperçoit tout au long de la montée. Trois épingles plus tard, on suit la vallée sur une belle route qui s'enfonce vers le glacier du Rhône. On coupe à nouveau le chemin de fer, puis une épingle à gauche annonce l'augmentation de la pente qui va mener à l'hôtel Belvédère; des pentes 9-10%. La montée continue avec de bon pourcentages, puis s'adoucit sur le dernier kilomètre.