Col de la Madeleine (1993m)

on commence par quelques virages en épingle, avant d'atteindre un premier passage à 10 %. Juste avant d'arriver à hauteur de St-François-Longchamp (1450m), on renoue avec les 10 %. En dehors de ça, la pente est très régulière (environ 8 %). Les derniers kilomètres paraissent très longs et la difficulté est accentuée par un vent fréquent. La route est parfaite sur ce versant.
Sur le papier, le versant sud du col de la Madeleine est l'un des passages les plus durs du Tour de France. Cependant, il faut reconnaître que l'enchaînement Télégraphe-Galibier est probablement plus difficile.

On quitte Feissons par le sud, en franchissant la route d'Albertville (2x2 bandes). On longe la rivière (l'Isère) sans diffculté. La montée commence vraiment quelques centaines de mètres plus loin. Très vite on rejoint la D94 où la pente est plutôt rude (8-9%) avec cinq épingles. On passe ensuite à une pente plus abordable, sur une jolie route en corniche, parfois étroite. Arrivé à Bonneval, on est même gratifié d'une bonne descente. Par la suite, on rencontre encore les villages de La Thuile et Celliers avec des pentes irrégulières, avec des passages bien pentus (9%). Il reste encore une portion en faux plat avant les derniers kilomètres dont la pente est bien plus accentuée et jalonnés de belles épingles. L'arrivée est en vue.